La majorité des actifs L2 n'héritent pas de la sécurité d'Ethereum même si le L2 est au stade 2. C'est un défi dont nous ne parlons pas assez dans Ethereum. Nous devrions l'affronter de front. Ci-dessous se trouve une compilation des actifs L2 réalisée par @hazeflow_xyz basée sur les données de @l2beat. Seuls les actifs bridgés de manière canonique héritent des garanties de sécurité d'Ethereum. Cela ne représente que 34 % des actifs L2. Les 66 % restants dépendent soit d'un pont tiers, soit du L2 lui-même. Actifs bridgés de manière canonique (34 %) = Ethereum Actifs bridgés par des tiers (38 %) = Pas Ethereum Actifs émis nativement (28 %) = Pas Ethereum Pour hériter de la sécurité d'Ethereum, l'actif doit être émis sur Ethereum L1 et être bridgé de manière native. Plus il y a d'actifs bridgés de manière canonique = plus le L2 est Ethereum Moins il y a d'actifs bridgés de manière canonique = moins le L2 est Ethereum Il y a ici un problème d'alignement des incitations - un L2 peut vouloir plus d'actifs émis nativement afin de maintenir un fossé précieux. De plus, il y a des avantages en termes d'expérience utilisateur et de coûts à émettre sur L2. Des rollups basés associés à l'émission d'actifs sur le L1 offrent une solution solide au problème. Au minimum - l'émission d'actifs sur L1 devrait être le fort par défaut. Mais il n'est pas entièrement clair comment cela sera standardisé ou si c'est pratique.